Publié le 29/11/2022
En Iran, les manifestations continuent après la mort, le 16 septembre 2022 de Mahsi Animi, étudiante kurde frappée par la police des moeurs dans un commissariat de Téhéran pour n'avoir pas porté correctement son voile.
Malgré la répression sanglante (300 morts reconnus par le régime, 416 morts selon l'ONG Iran Human Rights basée à Oslo), les emprisonnements, voire la peine de mort contre des manifestants, la résistance non-violente s'amplifie.
Le soutien dans le monde ne faiblit pas, les sanctions internationales frappent les dirigeants de la police et de l'armée, le refus de la dictature et de la théocratie obscurantiste s'étend à des secteurs de plus en plus larges de la société iranienne.
Voir le diaporama Préparer la défense civile non-violente. — 05-2. La résistance civile contre les dictatures et les « démocratures » (2013-2022)